
Chercher
Pourquoi les filles préfèrent les connards ? On fait comment pour en devenir un ?
Les filles aiment galérer avec les gars donc deux possibilités se présentent:
1-Le mec qui fait galérer la fille, qui la remplace au bout d'un mois une fois qu'il a fait son affaire et rempli son tableau de chasse. (95% des filles les préfèrent)
2-Le mec simple et amoureux qui ne demande qu'une chose, ne pas la faire galérer et qui se retrouve en une fraction de seconde dans la friendzone.
Voilà, tu sais maintenant comment être un connard avec les filles.
Bonne chance :)
1-Le mec qui fait galérer la fille, qui la remplace au bout d'un mois une fois qu'il a fait son affaire et rempli son tableau de chasse. (95% des filles les préfèrent)
2-Le mec simple et amoureux qui ne demande qu'une chose, ne pas la faire galérer et qui se retrouve en une fraction de seconde dans la friendzone.
Voilà, tu sais maintenant comment être un connard avec les filles.
Bonne chance :)
Connard, conneau, connaud, conno(t), subst. masc.
Prononc. : []. Étymol. et Hist. 1. Ca 1195-1200 physiol. subst. (Roman de Renart, éd. M. Roques, 14568); 2. 1831 arg. adj. (Mérimée à Stendhal, Corr. gén., 1, 90 ds QUEM.); 1872 conne (LARCH., p. 101). 1 du lat. class. cunnus physiol.; 2 prob. réfection de conard* (FEW t. 2, p. 1541a). Fréq. abs. littér. : 184. Fréq. rel. littér. : XIXe s. : a) 69, b) 214; XXe s. : a) 247, b) 727.
DÉR. 1. Connard, conneau, connaud, conno(t), (conno, connot)subst. masc., vulg. Triple idiot. Je me demande un peu! ... Où qu'il peut percher son connard qui va lui racheter des telles ordures? (CÉLINE, Mort à crédit, 1936, p. 616). Quand il rentrera l'autre guignol! ... on fera les connos et puis c'est tout! (CÉLINE, Mort à crédit, 1936 p. 671). 1re attest. a) 1280 conart lecture jugée possible par A. Långfors ds Romania t. 58, p. 288 (Clefs d'amors, éd. Doutrepont, 1315 : covart; var. B. Cornart); XIVe s. (J. LE SENECHAL, Cent Ballades, éd. G. Raynaud); b) av. 1896 conneau (VERLAINE, Correspondance, t. 3, p. 251); de con, suff. -ard*, -eau*. Le mot est peut-être dû à une altération de cornard* (cf. bon(n)e pour borne). Fréq. abs. littér. Con(n)ard : 12. 2. Connasse, subst. fém., vulg. Femme très sotte. Tu veux partir, connasse. Oui, partir, cavaler ailleurs (A. ARNOUX, Zulma l'infidèle, 1960, p. 40). 1re attest. a) 1610 anat. (BEROALDE DE VERVILLE, Le Moyen de parvenir, Kalendrier II, 212 ds HUG.); b) ca 1810 « femme ou homme bête » appliqué à la femme honnête et à la prostituée inexperte (d'apr. ESN. 1966); de con, suff. péj. -asse*. 3. Connement, adv., vulg. Bêtement. Faut pas, Pierrot, que tu te froisses; j'ai fait ça un peu connement hier, sous le coup d'une mauvaise impression (A. SIMONIN, Touchez pas au grisbi, 1953, p. 200). 1re attest. 1953 id.; de con, suff. -ment2*.
Prononc. : []. Étymol. et Hist. 1. Ca 1195-1200 physiol. subst. (Roman de Renart, éd. M. Roques, 14568); 2. 1831 arg. adj. (Mérimée à Stendhal, Corr. gén., 1, 90 ds QUEM.); 1872 conne (LARCH., p. 101). 1 du lat. class. cunnus physiol.; 2 prob. réfection de conard* (FEW t. 2, p. 1541a). Fréq. abs. littér. : 184. Fréq. rel. littér. : XIXe s. : a) 69, b) 214; XXe s. : a) 247, b) 727.
DÉR. 1. Connard, conneau, connaud, conno(t), (conno, connot)subst. masc., vulg. Triple idiot. Je me demande un peu! ... Où qu'il peut percher son connard qui va lui racheter des telles ordures? (CÉLINE, Mort à crédit, 1936, p. 616). Quand il rentrera l'autre guignol! ... on fera les connos et puis c'est tout! (CÉLINE, Mort à crédit, 1936 p. 671). 1re attest. a) 1280 conart lecture jugée possible par A. Långfors ds Romania t. 58, p. 288 (Clefs d'amors, éd. Doutrepont, 1315 : covart; var. B. Cornart); XIVe s. (J. LE SENECHAL, Cent Ballades, éd. G. Raynaud); b) av. 1896 conneau (VERLAINE, Correspondance, t. 3, p. 251); de con, suff. -ard*, -eau*. Le mot est peut-être dû à une altération de cornard* (cf. bon(n)e pour borne). Fréq. abs. littér. Con(n)ard : 12. 2. Connasse, subst. fém., vulg. Femme très sotte. Tu veux partir, connasse. Oui, partir, cavaler ailleurs (A. ARNOUX, Zulma l'infidèle, 1960, p. 40). 1re attest. a) 1610 anat. (BEROALDE DE VERVILLE, Le Moyen de parvenir, Kalendrier II, 212 ds HUG.); b) ca 1810 « femme ou homme bête » appliqué à la femme honnête et à la prostituée inexperte (d'apr. ESN. 1966); de con, suff. péj. -asse*. 3. Connement, adv., vulg. Bêtement. Faut pas, Pierrot, que tu te froisses; j'ai fait ça un peu connement hier, sous le coup d'une mauvaise impression (A. SIMONIN, Touchez pas au grisbi, 1953, p. 200). 1re attest. 1953 id.; de con, suff. -ment2*.
Pas bientôt fini la dérive des incontinents ?
Et puis comme disait un pote, un con c'est quelqu'un qui est toujours sûr de tout, mais je n'en suis pas sûr.
Par contre il est normal que les filles préfèrent les connards... c'est les seuls qu'elles puissent comprendre... C'est bon je sors et je vous dois Mesdames une rose chacune, non pas toi Philo t'en as déjà eu deux.
Et puis comme disait un pote, un con c'est quelqu'un qui est toujours sûr de tout, mais je n'en suis pas sûr.
Par contre il est normal que les filles préfèrent les connards... c'est les seuls qu'elles puissent comprendre... C'est bon je sors et je vous dois Mesdames une rose chacune, non pas toi Philo t'en as déjà eu deux.
Pas seulement les filles, les mecs aussi.
Je parle souvent de moi en disant "ma divine personne", et ça doit faire fantasmer les mecs.
Je suis une connasse arrogante, et j'assume jusqu'au bout.
D'ailleurs les mecs le savent, et pourtant ils continuent à me courir après, tout en sachant qu'ils risquent de se manger un "Ben, c'est non", à la fatidique question.
C'est pour ça que Philo et ma divine personnes s'apprécient.
Je parle souvent de moi en disant "ma divine personne", et ça doit faire fantasmer les mecs.
Je suis une connasse arrogante, et j'assume jusqu'au bout.
D'ailleurs les mecs le savent, et pourtant ils continuent à me courir après, tout en sachant qu'ils risquent de se manger un "Ben, c'est non", à la fatidique question.
C'est pour ça que Philo et ma divine personnes s'apprécient.